Afin de terminer la semaine, nous avons décidé de tester notre librairie Acam III sur une application plus lourde : Harmony Assistant. Il a d'abord fallut compiler la librairie Lua puis créer un projet spécifique. Mais au bout de seulement quelques heures, Harmony Assistant se lançait pour la première fois sous Ubuntu en mode natif ! Même MyrScript semble opérationnel : Cela est très encourageant, et même s'il reste pas mal de travail de notre coté pour valider le tout, nous allons pouvoir envisager une bêta d'Harmony dans les prochains jours. Bon week-end ! |
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by Didier Guillion | | | |
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Aujourd'hui nous avons planché sur les rapports des bêta testeurs. Une beta privée a été générée pour leur permettre de tester sur leur configuration matérielle. Nous travaillons en aveugle, car pour la plupart des points cela fonctionne chez nous. - Tentative de correction de l'écho optimisé - Correction de l'impression d'un document entier - Gestion des touches Alt+lettre pour naviguer dans les menus au clavier. - Tentative de correction d'un problème d'ouverture de menu. - Correction d'un problème d'affichage d'ascenseur quand on insérait une note avec le mode de recalcul des coulés actifs. Au passage, le problème avec Lion signalé au billet précédent est résolu ! Si jamais cela vous arrive un jour voici l'astuce : Il faut éditer le fichier : ~/Library/Preferences/com.apple.LaunchServices.plist double cliquer simplement dessus, il s'ouvre avec le Property List Editor. Dans la section "LSArchitecturesForX86_64" Si xxxx est le nom de l'application rechercher la ligne "com.xxxx" La supprimer. Sauvegarder. Redémarrer la session. |
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by Didier Guillion | | | |
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Lion (Mac OS X 10.7) est sorti depuis quelques jours. D'après les personnes qui l'ont eut en main nos applications tournent dessus. C'est un bon point. Cependant, un utilisateur est en bute avec un problème particulièrement kafkaïen. Cette personne utilisait Harmony en mode Rosetta et a fait une mise à jour de 10.6 en 10.7 (et non une clean install avec formatage de la partition). Sur Lion, Rosetta n'est plus présent, et on ne peut donc plus spécifier que l'application va l'utiliser ou non, mais, Mac OS X a gardé dans une de ses bases de données le fait que l'application, bien qu'Universal Binary (PPC+Intel) , doit se lancer avec Rosetta, donc en PPC, donc Mac OS X refuse de lancer l'application ! Il va falloir trouver un moyen d'effacer cette base de donnée et ce, de façon propre, peut être avec Onyx ? |
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by Didier Guillion | | | |
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Nous devrions mettre à disposition dans quelques instants la version 7.6.1 beta 4 de Melody pour Linux. Pas mal de choses nouvelles ont été implémentées dans cette nouvelle beta, et notamment : - les entrées et sorties MIDI, qui devraient être parfaitement synchronisées avec le jeu de la musique A ce sujet, nous nous étonnons grandement de la non-disponibilité dans ALSA du synthétiseur logiciel qui permet au lecteur multimédia Banshee de jouer les fichiers MIDI. C'est bizarre que ce synthé n'ait pas été implémenté au niveau système, ce qui aurait permis à toutes les applications d'en profiter, et de pouvoir jouer des musiques MIDI... - Une gestion des raccourcis clavier améliorée, plus compatible avec les versions Mac & PC. Beta-testeurs, à vos claviers! |
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by Olivier Guillion | | | |
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Aujourd'hui, traitement des rapports des beta testeurs reçus ce week-end : Gestion des accents dans les noms de fichier. Changement de police via la palette de style. Nouvel aspect des cases à cocher dans le look Ubuntu. Raccourcis clavier. |
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by Didier Guillion | | | |
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Nous avons bien avancé sur la MIDI avec ALSA. Les fonctions offertes au programmeur sont suffisantes, et semblent stables et logiques. Seul problème: l'absence quasi-totale de documentation claire sur ces fonctions. La documentation la plus poussée semble être un résumé des noms de fonctions et de leurs paramètres, généré automatiquement à partir des en-têtes C fournies aux programmeurs. Il faut donc faire par essai et erreur, ou récupérer des exemples de code source et s'en inspirer, en espérant qu'ils fonctionnent. C'est le genre de situation où si le premier programmeur fait une erreur qui ne plante pas visiblement , il y a fort à parier que cette erreur sera recopiée dans tous les programmes qui vont suivre. Mais bon, pour l'instant, nous avons réussi à implémenter la sélection des périphériques MIDI, le jeu de la musique en MIDI, la synchronisation de la MIDI avec le jeu en numérique et les entrées de notes au pas à pas. Il ne reste que les entrées en temps réel. Nous récupérons les événements, mais avons encore à parfaire la synchronisation, afin que les notes jouées apparaissent au bon endroit dans la partition. Sauf gros problème de dernière minute, une version beta avec la MIDI entièrement fonctionnelle devrait être disponible en début de semaine prochaine. Cela laisse aux beta-testeurs le week-end pour retrouver leurs interfaces MIDI et commencer à connecter leurs claviers et expandeurs. A lundi (midi, bien sûr) ! |
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by Olivier Guillion | | | |
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Il y avait un point dans Harmony qui ne nous plaisait pas depuis plusieurs années, et c'est étonnant que personne ne nous l'ai jamais signalé. Lorsque l'on écrit une portée pour la guitare, on utilise très souvent deux portées fusionnées pour l'alternance du pouce et des autres doigts par exemple. Or le calcul de la tablature ne tiens pas compte du multi-voix ce qui est gênant. La prochaine version affichera une tablature correspondant au doigté optimisé pour l'ensemble des voix. Dans la foulée l'export en .tab (texte) fonctionnera de même. |
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by Didier Guillion | | |
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Aujourd'hui pas mal de corrections dont : Correction d'un artefact d'effacement dans les boites à onglets. Meilleur affichage des items de type static text en cas de débordement. Implémentation de la boite de sélection de dossier. Virtual Singer : correction du SAMPA Q en langue anglaise (un problème qui datait de 10 ans) Correction de l'affichage des sauts et cibles sur les portées de type texte. Apple vient de sortir une nouvelle version de Mac OS X, la 10.7. Nous n'avons aucune idée de savoir si nos applications tournent dessus. Inutile donc de nous bombarder de questions... Mais sachant que : - 4 Go (!!!) de RAM sont recommandés et que notre Mac de développement n'en possède que 2. - Rosetta a disparu et que nous avons encore une multitude de petits et gros utilitaires qui sont en écrit en PPC. - L'installation des premières sous-versions de Mac OS X nous a souvent donné de grosse frayeurs. La 10.5.0 notamment. Nous attendrons quelques temps avant d'effectuer le saut, d'autant plus que sur le papier les avantages ne sont pas lumineux. Le passage de 10.5 à 10.6 était justifié par une promesse de gain en réactivité, là on en perdrait plutôt apparemment. |
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by Didier Guillion | | | |
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Devant l'impossibilité, sur Linux, de disposer d'une fonction qui serait appelée régulièrement (par exemple chaque 1/200e de seconde), nous avons dû nous résoudre à utiliser les fonctions ALSA haut niveau de traitement de file d'attente MIDI. Dans ce mode de fonctionnement, le programme stocke à l'avance la liste de commandes MIDI à jouer, chaque commande contenant le temps exact, en nanosecondes (!) par rapport au lancement de la sortie MIDI, auquel elle doit être effectivement envoyée au matériel. Les premiers essais sont concluants, les envois sur la MIDI sont maintenant bien réguliers. Reste un problème de synchronisation. Avec cette méthode, il faut absolument que le démarrage de la MIDI et le démarrage de la sortie numérique soient parfaitement simultanés. Or, pour l'instant, il y a des délais variables entre les deux sorties, différents à chaque lancement de la musique, et pouvant atteindre un quart de seconde. Espérons que ce n'est pas inhérent à ALSA, et cela pourra être résolu. Sinon, on est mal... |
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by Olivier Guillion | | |
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La semaine démarre sur une bonne surprise. Nous voulions voir quelle était la somme de travail pour faire fonctionner Melody sur des distributions autres qu'Ubuntu/ GTK et en particulier les distributions Kubuntu et Xubuntu. Les distributions MythUbuntu ou Edubuntu étant ignorées car trop confidentielles. Et bien, si l'on prends la peine d'utiliser les version 11.04 de la distribution, Melody tourne du premier coup, sans erreur, sans manip, particulière à faire ! Les langues Finoise et Japonaise dans VS, ne fonctionnaient pas, cela a été signalé et corrigé. Le thème par défaut sera maintenant "Ubuntu 9.1". |
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by Didier Guillion | | | |
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Une nouvelle bêta a été publiée : - Corrigé: problème d'arrêt du jeu des pistes numériques ou de Virtual Singer lors de la navigation dans les menus - La combinaison de touches Ctrl Z ne fonctionnait pas - Le choix de tampons audio trop courts dans "Configuration > Configuration sortie numérique" donnait un effet de disque rayé infini - Certains sons de la base GOLD (Grand Piano 1, Grand Piano 2, etc) ne fonctionnaient pas - Le programme ne se lançait pas sur Ubuntu Studio - Lors du changement de bureau virtuel, Melody Assistant bloquait Pour analyser les différents problèmes nous avons installé plusieurs versions de Linux, dont UbuntuStudio (Installation longue et complexe). Dans la foulée, nous avons créé une machine sous Kubuntu (installation claire et sympa) pour voir si une solution de compatibilité existe. |
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by Didier Guillion | | | |
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Une nouvelle version beta (7.6.1 beta 2) a été préparée aujourd'hui, et mise à la disposition des beta-testeurs. Nous avons été contraints de créer deux paquets Debian différents, un pour la version 32 bits de Melody Assistant, l'autre pour la version 64 bits. Comme beaucoup d'autres applications sur Ubuntu, en fait de version 64 bits, il s'agit du même programme en 32 bits, mais qui requiert l'installation préalable des librairies de compatibilité. Nous avions tenté de créer une seule archive pour les deux versions, mais nous ne sommes pas parvenus à créer une dépendance variable en fonction de l'architecture sur laquelle le paquet est installé. Par contre, pour la base Gold, qui ne contient que des données et pas de programme, nous avons pu créer un seul et même paquet pour 32 et 64 bits. En fait, le paquet de la base GOLD contient un petit programme permettant le décompactage des fichiers sonores, et nous avons dû utiliser une astuce pour "cacher" ce programme au gestionnaire d'archive, qui est conçu pour empêcher toute installation multi-architecture en vérifiant le format de tous les fichiers exécutables. Donc au final, une version de la base GOLD peut également être essayée par les beta-testeurs. Il faut alors prévoir au moins 1.2 Go de libre sur le disque dur pour pouvoir procéder à la très longue installation de cette base de sons. |
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by Olivier Guillion | | | |
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La bêta 2 est sur le point d'être publiée, dès que nous arriverons à créer un paquet qui se lise aussi bien sur 32 bits que sur 64 bits... Outre pas mal de corrections, cette version offrira la gestion de la base Gold. On nous signalé quelques problèmes de sélection du périphérique de sortie numérique et en particulier le choix du périphérique par défaut. Ceci a été repensé. Un bouton "Test" fait son apparition dans la boîte de sélection afin de pouvoir tester rapidement le périphérique sélectionné. |
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by Didier Guillion | | | |
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Ces derniers jours nous avons travaillé sur la possibilité de proposer la base de son Gold sur Ubuntu. Ce qui nous semble important pour la qualité de restitution. Comme la base de son Gold est constitué exclusivement de données, nous avons trouvé une astuce pour l'installer assez facilement sur Ubuntu 32 et 64 bits avec un seul .deb. Cependant nous nous heurtons maintenant à un problème de taille du .deb obtenu. Décompactée la base de son frôle les 894 Mo. Le compactage standard des .deb donne 804 Mo, ce qui est beaucoup trop lourd. Nous avons donc essayé les compactages xz et lzma et malgré des temps de décompactage de plus de 20 mn (!) nous n'obtenons pas mieux que 680 Mo. Nous envisageons donc de compliquer la phase d'installation en y intégrant notre propre algo de compactage/décompactage non destructif qui permettrait de tomber à 480 Mo. Cela pourrait d'ailleurs donner un bon freeware sous Ubuntu pour ceux qui partagent des sons numériques... Un ratio de 50 % sans perte est plus que bon à prendre ! Bon week-end ! |
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by Didier Guillion | | | |
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Nous avons continué à travailler sur les paquets installables, et avons trouvé une solution que nous estimons satisfaisante pour gérer les versions 64 bits d'Ubuntu. Nous avons écrit un script Perl qui automatise la création de deux paquets pour Melody, un destiné à Ubuntu 32 bits, l'autre à Ubuntu 64 bits. Les deux paquets sont quasiment identiques et installent les mêmes fichiers, mis à part que la version 64 bits déclare avoir besoin des librairies de compatibilité 32 bits, qui seront alors installées automatiquement par le gestionnaire d'installation (la Logithèque). Informatiquement, donc, tout fonctionne. Pour ce qui est de l'ergonomie, il y a à notre avis un *très* gros problème avec la logithèque en général. Nous avons même essayé d'installer des paquets autres que les nôtres, sur les 2 versions d'Ubuntu, afin de vérifier que cela n'était pas dû à une erreur de notre part. L'erreur ne semble pas venir de notre côté. Voici ce que, logiquement, on attend d'un logiciel d'installation: - On double-clique sur le fichier téléchargé, le logiciel d'installation s'ouvre - Une description de ce qui va être installé est montré (avec possibilité de lire les licences ou de configurer l'install) - Un clic sur le bouton install démarre l'installation, et pendant les quelques minutes qui suivent, une jauge montre la progression - A la fin de l'installation, le logiciel est lancé, et/ou une icône de lancement apparaît sur le bureau et/ou un message explique dans quel menu trouver l'icône de lancement. Mais cela aurait été trop facile, et c'était sans compter sur la fameuse technologie PFSQOPFC d'Ubuntu (Pourquoi Faire Simple Quand On Peut Faire Compliqué): - On double-clique sur le fichier .deb. - La logithèque s'ouvre - Elle ne montre pas l'application en question, mais plutôt un menu général. Il faut patienter une dizaine de secondes avant que l'application à installer apparaisse. - Là, un bouton "Installer" et une explication dans une seule langue (qui sera donc probablement en anglais, même pour les utilisateurs francophones), pas de pages de licence, pas de configuration possible. - On clique sur Install. Une jauge de progression apparaît pendant 5 secondes, puis disparaît. Le bouton "Installer" réapparaît. Que s'est-il passé, c'est déjà fini ? Il y a eu une erreur ? Rien de tout cela, en fait l'installation continue. Il ne faut pas recliquer sur le bouton. - Cela dure une bonne minute, puis les explications disparaissent, et réapparaissent avec de nouveau une jauge - 3 minutes plus tard, le bouton "Installer" redevient actif, et reste ainsi pendant 5 bonnes minutes. Plus rien ne bouge. Seule la lenteur anormale de tout le reste du système laisse à penser qu'une opération est en cours. - La jauge pleine apparaît alors, puis la mention "installé". C'est tout. Depuis le temps, on a presque oublié quel logiciel on était en train d'installer, la procédure ayant duré environ 10 fois le temps mis par la version Windows. Aucun message, l'application ne se lance pas, et aucun raccourci n'apparaît à un endroit visible. - Là, on peut alors aller à la pêche, en examinant tous les menus jusqu'à ce qu'on découvre celui dans lequel l'icône de lancement de l'application s'est nichée (pour Melody, c'est "Applications > Son et Vidéo). Nous sommes vraiment surpris par le fait qu'une telle catastrophe ergonomique puisse exister dans un logiciel, même gratuit. Alors, sachant que c'est intégré par défaut au système, notre surprise se mue en consternation. |
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by Olivier Guillion | | | |
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La version beta ayant été publiée hier, nous avons déjà eu quelques retours. L'un d'entre eux était particulièrement préoccupant : Sur Ubuntu version 64 bits, les applications 32 bits ne fonctionnent pas, et ne peuvent même pas s'installer depuis la logithèque. C'est pourtant un mode de compatibilité assuré par défaut et de manière totalement transparente sur les autres plateformes (Mac OS ou Windows). Mais la compatibilité ascendante ne semble pas être la préoccupation principale du consortium Ubuntu... Ne pouvant pas nous permettre de maintenir 2 versions (32 et 64 bits) de chacun de nos programmes sur chacune des plateformes Linux que nous envisageons de gérer, et le bénéfice du 64 bits en terme de performances restant encore à prouver, voici une méthode du type "mains dans le cambouis" pour faire fonctionner la version actuelle (32 bits) sur Ubuntu 64 bits: 1- Lancer Terminal 2- Se positionner dans le répertoire où est sauvegardé le paquet Debian téléchargé. 3- Installer les librairies de compatibilité 32 bits grâce à la commande: Quote:sudo apt-get install ia32-libs |
| 4- Installer le paquet par la commande: Quote:sudo dpkg -i --force-architecture "Melody_7.6-1.deb" |
| 5- A partir de maintenant, le programme peut être lancé depuis le menu "Application > Son et Vidéo > Melody Assistant". Il est à noter que: - Il suffit d'installer une seule fois les librairies de compatibilité (étape 3) pour pouvoir ensuite installer à volonté n'importe quel paquet 32 bits. On se demande pourquoi ces librairies ne sont pas incluses par défaut. Soi-disant, pour obliger les utilisateurs à bien vérifier qu'une version 64 bits de l'application n'existe pas. Si c'est pour notre bien, alors... - La procédure d'installation du paquet (étape 4) fonctionne de la même manière pour n'importe quel paquet 32 bits, pas seulement le nôtre. - Il nous faudra trouver un moyen d'expliquer cela de manière claire, lorsque la version définitive sera disponible, afin que les utilisateurs ne butent pas trop sur le problème. |
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by Olivier Guillion | | |
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Ca y est ! La première version bêta de Melody Assistant pour Linux est finalisée ! Nous l'avons testé assez profondément de notre coté et nous allons la proposer en téléchargement à l'équipe de bêta test d'ici quelques heures. |
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by Didier Guillion | | |
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Nous avons presque terminé la mise au point de la gestion des crashs sur Linux. Nous avions au début pensé utiliser la gestion des "core dump" du système, mais sur Ubuntu, ceux-ci sont désactivés par défaut. Ne pouvant les activer que globalement, et pas uniquement pour nos propres applications, nous avons préféré gérer cela nous-même, comme nous le faisons sur Windows. Nous capturons donc les crashs, et une de nos fonctions se charge de collecter un maximum d'informations et de nous les envoyer par le biais d'un frontal Web. Après nous être battus un moment avec la syntaxe abracadabrantesque de l'assembleur de GCC (syntaxe AT&T), nous avons réussi à tout faire fonctionner. Enfin presque : Melody affiche une boîte, ouvre la page Web voulue, puis se termine proprement. Malheureusement, la terminaison du programme a pour effet de terminer également tous les processus fils, ceci incluant le navigateur Internet montrant le formulaire. Nous essayons donc de pallier à ce problème. |
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by Olivier Guillion | | | |
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Nous avons commencé à réellement utiliser l'application pour traquer les problèmes. Il est en effet inutile de proposer une bêta tant que nous trouvons encore des bugs de notre coté. Ainsi, en vrac, ont été corrigé aujourd'hui : l'ouverture de fichiers .myr depuis le bureau, le choix des thèmes d'interface dans les préférences, le choix des icônes, la date des fichiers dans le JukeBox, pas mal de petits problèmes graphiques, etc. Maintenant, nous cherchons à obtenir un "coredump" de notre application quand elle plante de manière à ce que les rapports d'erreurs soient les plus précis possible. Bon week end ! |
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by Didier Guillion | | | |
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