Nous en parlions il y a quelques jours, un utilisateur était dans l'impossibilité de lancer Harmony Assistant sur son PC sous Vista. Il obtenait le message "Can't find resource file 'Toccata.rsr'" Après de nombreux échanges, et la fabrication de pas moins de six versions spéciales d'Harmony Assistant écrivant des informations dans un fichier-journal, nous avons pu enfin localiser le problème. Celui-ci est lié à une erreur de programmation dans un pilote d'impression PDF, Nuance PaperPort 11. Lorsque le pilote d'impression est interrogé par l'application afin de savoir quelles polices de caractères sont gérées, celui-ci ne remet pas le répertoire courant à la valeur qu'il avait en entrée. Harmony Assistant essaie alors de lire ses fichiers de données, mais n'est plus positionné dans le bon répertoire, d'où une erreur empêchant l'application de continuer. Ceci impacte de la même façon toutes nos autres applications, et probablement d'autres programmes. Il suffit que l'utilisateur ne définisse pas ce pilote comme pilote d'impression par défaut pour que cela fonctionne à nouveau. Les prochaines versions de nos logiciels seront cependant modifiées pour ne plus être gênées par ce dysfonctionnement du pilote. Il nous a pour l'instant été impossible de joindre le support technique de Nuance, l'assistance demandant un numéro de série du produit que nous n'avons pas, et les réponses aux questions d'ordre technique par e-mail étant apparemment payantes. Par le biais du formulaire de commentaire à propos de leur site Web, qui lui est gratuit, nous avons tenté de leur expliquer la situation, notant que nous serions prêts à travailler de concert avec leurs programmeurs afin de corriger ce problème dans leur logiciel, mais pas motivés au point de payer pour cela |
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by Olivier Guillion | | |
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Nous avons franchi le cap et nous sommes inscrits sur Facebook ! Un peu circonspects au départ quant à l'utilité réelle de ce type de réseaux sociaux, nous avons cependant cédé à la pression populaire et avons créé nos profils. Ceci était l'étape obligée pour ouvrir un groupe "Myriad Software" dans lequel les amateurs de nos logiciels pourraient se retrouver. Bien sûr, cet endroit ne sera pas destiné à discuter en détail de nos produits, le forum étant déjà prévu pour cela. Mais cela permettra peut-être de faire connaître notre existence au sein d'une très, très large communauté. La prise de contact avec le système de Facebook est aisé, très aisé même. Le contenu lui-même est un peu fouillis, avec des trucs et des machins partout, des commentaires, des fenêtre de t'chat, des amis et les amis des amis (qui sont selon le dicton également nos amis). Bref, tout le monde est pote, et la profusion d'information - qui peut parfois cacher son absence de fond - permet de se balader pendant des heures en ayant l'impression de faire ou d'apprendre quelque chose. Techniquement, tout est simple, simpliste même parfois. Pour la majeure partie, des technologies et concepts déjà existants (blog, chat, forums, galerie de photos) ont été rendus à la portée de n'importe qui en quelques clics. Plus la peine donc de savoir que le HTML n'est pas un gaz de combat pour publier sur Internet tous les détails sur sa vie privée. Avoir un profil Facebook, simplement pour voir ce que deviennent les vieux potes, et visualiser leur photos de vacances de temps en temps, ou leur envoyer un petit coucou, ça peut être intéressant. Mais quant à y passer plus d'un quart d'heure par jour... Donc, au final, rien de vraiment révolutionnaire, mais une bonne réalisation et une grance facilité d'emploi. Nous restons tout de même, à la fin, "un peu circonspects quant à l'utilité réelle de ce type de réseaux sociaux". |
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by Olivier Guillion | | |
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Avec l'annonce des résultats de la 20e session de notre concours amical de musique, nous avons pu nous rendre compte de son évolution depuis la première édition, au printemps 2001. Dès les premières sessions, nous avons pu découvrir des musiciens talentueux, avec des styles très personnels. En octobre 2003 (neuvième session), nous avons commencé à introduire le système du sujet imposé, qui nécessitait de la part des participants soit de composer un morceau spécialement pour l'occasion, soit de faire preuve d'imagination pour faire "coller" au sujet une pièce qu'ils avaient déjà écrite Ce n'est qu'en août 2005 (14e session) que le sujet imposé est devenu seul et unique moyen de participer au concours. Cela est lié à des raisons purement pratique : les jurés du concours doivent écouter en intégralité toutes les oeuvres soumises. Pour le 13e concours, cela correspondait à plus de 9 heures En limitant le nombre de participations, la charge de travail ne dépassait ainsi plus le seuil humain de résistance acoustique, évitait les drames familiaux et les faits divers dans l'entourage des jurés. Nous sommes conscient que le système actuel n'est pas parfait. Par exemple : - la page des contributions est fabriquée "à la main" et n'est donc remise à jour que lorsque suffisamment de morceaux nouveaux sont arrivés. Parfois certains participants s'étonnent de ne pas voir leur morceau apparâitre sur la page Web aussitôt après avoir envoyé leur e-mail. - Le fait d'intégrer le gagnant du concours au jury des sessions suivantes - et donc ne plus lui permettre de participer - permet d'éviter qu'un nouveau Mozart ne gagne tous les premiers prix jusqu'à la fin des temps. Malheureusement, cela prive également le concours de nombreux talents. - Il aurait été plus logique de se passer complètement de jury, et de faire voter les internautes. Des essais ont été réalisés en ce sens, mais ne permettent pas d'éviter les abus. En effet, rien n'empêche un lycéen de demander à tous ses copains de classe de s'inscrire et de voter pour lui. Les résultats sont alors faussés, et cela devient un concours de popularité plus que de talent. Nous sommes cependant prêts à modifier ce système, en détail ou en profondeur, si nous trouvons une solution juste, pas trop lourde, et, surtout, pas trop compliquée à maintenir et à gérer au jour le jour. N'hésitez pas à nous faire part de vos idées. Pour l'instant, nous conservons le système tel qu'il est, faute de mieux. Nous nous creusons donc la tête à chaque session pour trouver un nouveau thème, ni trop contraignant, ni trop ouvert. Mais peut-être lancerons-nous, pour la 22e session, un concours dans le concours, en demandant aux visiteurs de proposer un sujet, puis en les collectant et en organisant un vote pour déterminer celui qui sera finalement retenu. C'est ça qu'on appelle la démocracie participative ? |
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by Olivier Guillion | | |
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Cela fait maintenant dix jours que nous essayons vainement d'aider un utilisateur malheureux qui ne peut pas faire fonctionner Harmony Assistant. Les symptômes? Lors du démarrage de l'application sous Windows XP, une boîte d'alerte disant que le fichier Toccata.rsr n'a pas pu être ouvert, puis retour au bureau. Cela nous indique que le programme ne peut pas retrouver les fichiers de données qui lui sont associés. Après la conception et l'envoi d'une version spéciale d'Harmony Assistant permettant d'inscrire dans un fichier les opérations effectuées, nous avons pu déterminer qu'il s'agit d'un problème de répertoire par défaut. Lorsqu'une application démarre, le répertoire courant est censé être celui dans lequel a été double-cliqué le programme. Là, il est positionné au répertoire temporaire de Windows. S'agit-il d'une configuration particulière d'XP, d'un anti-virus ou autre anti-malware qui scanne le programme et "oublie" de remettre le système dans l'état où il l'a trouvé en entrant? Une nouvelle petite application spécifique a été fabriquée et envoyée. Nous attendons la réponse, mais le décalage horaire ne nous autorise guère plus d'un échange de mail par jour. A suivre, si nous trouvons finalement l'explication et qu'elle est susceptible de dépanner quelqu'un d'autre. |
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by Olivier Guillion | | | |
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Une idée, qui nous trotte dans la tête depuis un bon bout de temps, est remontée à la surface lorsque nous avons dû nous replonger dans le module de quantification des imports MIDI : beaucoup de fichiers MIDI sont en fait un enregistrement du jeu d'un interprète, qui a joué sans tenir compte du métronome. On obtient donc un fichier où les notes sont de longueur quelconque, et démarrent à peu près n'importe où, sans tenir aucun compte des positions des mesures ou des temps. Il pourrait alors être intéressant d'analyser ces positions et longueurs de notes, et d'en déduire automatiquement un battement métronome (pouvant être irrégulier, au gré des accélérations et ralentissements de l'interprète) permettant de représenter au mieux la partition. Les notes sur la partition seraient alors beaucoup mieux représentées, et une ligne contenant les variations de tempo permettrait d'obtenir, lorsqu'on rejouerait le morceau, un rendu identique à l'original. Cette fonction existe probablement dans d'autres logiciels ou a même pu faire l'objet de logiciels indépendants. Nous n'avons pas encore effectué de recherche bibliographique à ce sujet, d'autant plus que nous ignorons totalement comment une telle fonction pourrait être nommée. Quoi qu'il en soit (ou quoiqu'il en soit, choisissez l'orthographe qui vous convient le mieux), nous attendrons probablement la fin des projets en cours pour étudier cela. Nous commenceront, pour des raisons de commodités, à l'écrire en MyrScript, et si les résultats sont satisfaisants, nous l'intègrerons alors aux fonctions "en dur" d'Harmony Assistant. |
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by Olivier Guillion | | |
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Cela faisait plusieurs mois (en fait près d'un an) que les bases de données servant à la recherche sur notre site n'avaient pas été remises à jour. Nous avons donc recalculé tout ça, et en avons profité pour améliorer le système et corriger quelques dysfonctionnements dans les scripts, qui empêchaient notamment une recherche correcte sur ce blog. Donc ça y est, tout est propre et neuf, vous pouvez vous en servir Le temps d'indexation étant un peu long, nous ne pouvons pas remettre ça à jour en temps réel. En attendant de mettre le recalcul dans une tâche appelée régulièrement aux heures creuses du site, nous essaierons de penser à remettre tout à jour de temps en temps. |
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by Olivier Guillion | | |
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Par curiosité, et afin d'anticiper les déboires qui pourraient nous attendre avec cette nouvelle version de Windows, nous avons essayé Windows 7. Le téléchargement des 2.43 Go de la version beta se sont passés sans souci. Par contre, plutôt que de graver ce fichier sur un DVD et l'installer sur un vrai PC, nous l'avons installé sous forme de machine virtuelle. Aucun problème de ce côté-là non plus. L'installation sur un pseudo-PC tout neuf doté de 512 Mo de mémoire et d'un disque dur de 8 Go s'est bien déroulée. A la fin de l'installation, nous avons trouvé et installé les pilotes de la carte réseau et de la carte son, sans avoir besoin de redémarrer la machine. Windows 7, dans sa version beta, a un look très, très très proche de Vista. Au milieu du fond de bureau par défaut, on trouve un joli poisson coloré, dont le nom latin, "Betta Splendens" laisse à penser que les programmeurs de Microsoft ont une haute opinion de leur première version Beta de Windows 7. Le comportement de ce poisson, appelé communément "combattant", qui consiste à mettre à mort tout rival introduit dans le même aquarium, laisse présager de bonnes parties de rigolade lorsqu'il faudra faire cohabiter Windows 7 avec une version précédente sur une même machine Nous avons téléchargé, installé et lancé nos applications sans rencontrer de problème particulier. Tout se comporte comme sous Windows Vista, jusqu'au numéro de version de Windows qui, lorsqu'on interroge le système, s'avère être 6.01 au lieu du 7.00 attendu (Windows Vista porte le numéro 6.00). Espérons que cela sera modifié dans la version finale, sinon tout le monde risque de s'y perdre. L'UAC (User Account Control) semble afficher moins d'alertes que Vista, ce qui n'est vraiment pas un mal, mais peut-être est-ce spécifique à la configuration par défaut de cette version beta. Le système de gestion du dossier VirtualStore, lui, ne semble pas avoir été amélioré d'un poil, malheureusement (voir nos billets précédents). Il ne nous est pas possible d'acquérir une quelconque certitude sur la vitesse de Windows 7, étant donné le mode de fonctionnement virtuel que nous avons choisi. Il semble cependant plus rapide, et semble moins solliciter le disque dur. Une chose est sûre, il est moins gourmand en mémoire. Alors qu'une capacité mémoire de 720Mo a été nécessaire pour faire tourner correctement Vista (et encore) en machine virtuelle, 512 Mo se sont avérés amplement suffisants pour Windows 7. Une consultation du gestionnaire de tâches nous confirme que, alors que Vista utilisait au minimum 400 Mo, Windows 7 se stabilise au bout de quelques minutes à environ 210 Mo. Un gain de place appréciable pour les petites machines, la lourdeur et la lenteur de Vista étant les principaux défauts qui lui sont actuellement reprochés. |
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by Olivier Guillion | | | |
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Nous en avions déjà parlé, nous avons repris l'export MIDI afin de régler les problèmes d'imprécision qui pouvaient donner une longueur légèrement différente à des notes pourtant identiques. Tant que nous y étions, nous avons amélioré le module d'import / export MIDI, histoire de ne plus avoir à y toucher dans les 10 ans qui viennent Pêle-mêle: - La "base de temps" du fichier MIDI, au lieu d'être toujours fixée à 192 unités pour une noire, valeur standard de la plupart des fichiers, est maintenant calculée afin de permettre une représentation exacte de toutes les notes comtenues dans la partition. Conséquence : dans l'export MIDI, même les notes très courtes ou compliquées auront une durée exacte. Effet indésirable : l'export MIDI risque de prendre un peu plus de temps dans ces cas-là. - Lorsqu'aucune quantification n'est demandée lors de l'import, l'accroche des notes en fonction des temps est maintenant correctement réalisée. - Lors de l'import MIDI sans quantification, les quintolets sont maintenant correctement représentés - L'option "quantification automatique et légère" (option par défaut de l'import MIDI) n'utilise la quantification que si c'est nécessaire. Conséquence : Si le fichier MIDI contient des notes facilement représentables, même courtes (quintolets, etc), elles ne seront plus remplacées par une alternances de double et triple croches par la quantification. - De même, en mode "quantification sur demande", le bouton par défaut est choisi en fonction du contenu de la partition : "quantifier" si toutes le notes ne sont pas facilement représentables, "ne pas quantifier" sinon. Conséquence : il suffira d'appuyer sur "Entrée" pour sélectionner l'option que propose le programme. |
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by Olivier Guillion | | | |
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Il y a des modules qu'on pensait ne jamais avoir à toucher. L'export MIDI en faisait partie. "Faisait", parce que JP (verpeauxjp) nous a fait remarquer dernièrement que lors de l'export de triolets de croches, le contenu du fichier MIDI faisait apparaître trois notes de durée légèrement inégale. Ceci est dû à la manière dont nous traitons l'export MIDI. Il s'agit en fait de faire jouer le fichier MIDI en accéléré, et d'écrire les commandes sur le fichier plutôt que de les envoyer vers un synthétiseur. Chaque pas de calcul représente 1/200e de seconde d'écoute, et cela peut ne pas tomber juste, en fonction des longueurs de notes dans la partition. Par exemple, les trois croches du triolet auraient dû avoir toutes une longueur de 64, mais on obtient en fait 63, 65 et 64 (remarquez que le total est correct). Lorsqu'on joue la partition, cette différence de quelques centièmes de seconde ne se remarque pas. Mais écrit dans un fichier MIDI, cela peut perturber les logiciels qui s'attendent à lire des durées de notes exactes. Nous avons donc repris tout le module d'export, vieux de plusieurs années, pour changer la méthode de sauvegarde. Cela fonctionne maintenant, à l'exception de certains effets (glissades, etc) dont les paramètres sont données en durée réelle, en fraction de seconde, plutôt qu'en durée musicale, en fraction de noire. Une fois ceci réglé, le plus long sera certainement de tester à nouveau tous les cas possibles (ornements, appoggiatures, crescendo, courbes de paramètres, et tout ce qu'on oublie) pour vérifier que rien n'a été cassé. |
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Les lignes de portées sont un élément perturbant pour une reconnaissance de caractères musicaux. Le programme redresse déjà la page, afin que ces lignes soient parfaitement horizontales (à plus ou moins un pixel près). Il détecte ensuite la position de ces lignes. Donc, à partir d'une partition comme celle-ci : le programme est capable de "suivre" ces lignes horizontales et de les effacer, comme ceci : Mais si l'oeil humain est capable sans difficulté de combler les trous et de voir la forme générale, un programme de reconnaissance rencontre plus de problèmes. Nous travaillons donc sur des algorithmes de reconstitution des parties manquantes. Ces algorithmes essaient de deviner quels pouvaient être les pixels masqués par la ligne horizontale, et garde l'hypothèse la plus probable. Voici donc ce qu'on obtient : Ce n'est pas parfait, par exemple à la base des "4", mais cela devrait permettre à l'algorithme de reconnaissance d'identifier plus facilement les symboles. |
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by Olivier Guillion | | | |
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