Chose promise, chose due. La nouvelle version beta (9.4.0 Beta 6) a été mise à disposition aujourd'hui.
Elle intègre la toute première version de l'installateur gérant le "nomade", c'est-à-dire permettant d'installer entièrement l'application sur un support amovible (clé USB).
Cela semble fonctionner, mais des tests plus amples sont à effectuer, au moins sur Windows, afin de s'assurer que l'installation sur une clé ne copie aucune donnée sur le disque dur, ni ne touche à la base de registre.
Il y aura certainement des conseils supplémentaires à ajouter au chapitre dédié à cela dans la documentation, par exemple, sur Windows, comment définir une configuration matérielle nomade (choix des pilotes des cartes son et MIDI), etc.
Mais nous attendons que plusieurs d'entre vous le testent également, vous aurez peut-être des choses à ajouter.
Bons tests!
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| by Olivier Guillion |  |
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Nous avons presque finalisé le fonctionnement "nomade" d'Harmony Assistant, et une version beta devrait être disponible demain, si tout va bien.
Une installation nomade présentera quelques différences par rapport à une installation classique. Ceci est dû au fait que l'application ne doit effectuer aucun changement, aucune configuration du système où elle s'exécute.
Donc, en nomade :
- le double-clic sur un fichier "mus" ou "myr" ne lancera pas automatiquement l'application, tout au moins sur Windows. Il faudra passer par "Fichier > Ouvrir" ou par le glisser/déposer. A tester sur Macintosh.
- Sur Windows, impossible d'installer des raccourcis dans le menu démarrer ou sur le bureau. L'application devra être lancée "à la main", en entrant dans le répertoire d'installation sur la clé USB, et en double-cliquant dessus.
- La fonte musicale ne sera pas installée dans le système. Elle sera présente lorsque l'application est lancée, mais ne sera plus accessible par d'autres programmes lorsqu'on quittera l'application. Normalement, les fichiers PDF créés pendant une session devraient cependant continuer à fonctionner après la fermeture de celle-ci.
- Les autres programmes installés (plug-in, player...) ne pourront pas bénéficier des bases de sons de qualité supérieure installées dans le programme.
- Le lancement de l'application risque d'être plus lent, les clés USB ayant des taux de lecture et de transfert inférieurs à ceux d'un disque dur. Par contre, nous n'avons pas senti de ralentissement perceptible en cours de fonctionnement.
Lorsque nous aurons pu nous assurer de tout cela, ces précisions seront ajoutées à la documentation.
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| by Olivier Guillion | |
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Le déménagement s'était pourtant bien passé... La machine qui relaie nos e-mails avait été configurée avec soin et testée plusieurs jours dans nos anciens locaux.
Il suffisait juste de la débrancher, de la déplacer, et de la rebrancher, seul le modem ADSL auquel elle était connectée devait changer. Mais un accès à Internet reste un accès à Internet, n'est-ce pas ?
Et pourtant...
Nous avons déménagé le vendredi, et ce n'est que le lundi que nous nous sommes aperçus qu'aucun des e-mails postés durant cette période n'était parti.
Notre relai recevait bien les e-mails, les rangeait dans la file, mais au moment de se connecter sur le serveur d'envoi (SMTP) de notre hébergeur, impossible d'aller plus loin.
Nous avions bien testé le système en nous envoyant des e-mails entre nous, mais les courriers internes ne transitent pas par l'extérieur, et sont délivrés immédiatement.
Environ 250 mails étaient en attente dans la file, dont certains, urgents, avaient été - presque - envoyés 4 jours auparavant. Nous avons alors pensé que notre hébergeur pratiquait du filtrage d'IP, et que notre changement de fournisseur d'accès lui faisait croire que nous étions des hackers.
Donc, un coup de fil pour nous en assurer. Réponse négative. Aucun filtrage. "Mais", nous dit le technicien, "faites attention, si vous passez par Orange, ils bloquent le port 25 (SMTP)".
Vérification faite, c'est parfaitement exact. Les abonnés Orange ne peuvent pas se connecter à un serveur d'envoi de mail autre que celui d'Orange. Ceci est une mesure destinée, parait-il, à endiguer le spam qui transite pas des ordinateurs personnels infectés.
Vous me direz, pourquoi ne pas bêtement utiliser le serveur d'envoi d'Orange? Cela ne fait pas de différence, l'essentiel est que les mails soient envoyés.
Presque. Nous avons eu une mauvaise expérience avec Wanadoo, dont le manque de réactivité face à ses clients servant de "relai ouvert" leur avait vallu d'être blacklistés par pas mal de fournisseurs d'accès étrangers. Et dans ce cas-là, les e-mail envoyé par leur serveur partaient bien, mais n'arrivaient jamais à leur destinataire.
Heureusement, notre hébergeur nous a donné une solution pour accéder à leur serveur par un autre port que le 25. Et là, notre file de mails en attente d'envoi a commencé à se vider petit à petit. Certains ont donc dû recevoir le lundi des e-mails daté du vendredi précédent 
Orange, pour éviter de faire la "police", ou d'avoir à prévenir ses clients qui servaient de relai à leur insu, a donc choisi la solution la plus simple et la plus radicale, ne permettant même pas à ses abonnés de passer outre s'ils le veulent.
Aucun accès aux serveurs distants sur le port 25.
L'accès à Internet qui est proposé est donc incomplet, et sachant qu'il y a 1024 ports "bien connus" (dixit Wikipedia), nous exigeons immédiatement le remboursement de 0.1% de notre abonnement !  |
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| by Olivier Guillion | |
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Un utilisateur a remarqué un problème avec les pistes numériques, un problème que nous avions déjà relevé, et qui était sur notre "to do list" depuis un certain temps.
Mais maintenant que quelqu'un s'en est aperçu, nous n'avons pas d'autre choix que de le corriger 
L'affichage des données des pistes numériques se fait mesure par mesure, et l'échelle dans chaque mesure est linéaire, c'est-à-dire que la première seconde de données occupe le même espace que la dernière.
Mais, en mode gravure, l'échelle n'est plus linéaire, et dépend des longueurs de notes présentes sur les portées. Donc, par exemple, si nous avons une portée classique contenant des notes de diverses longueurs, et une piste numérique contenant le son de ces même notes, en mode gravure, les deux ne correspondent pas.
Si une sélection est faite à la fois sur la piste numérique et la portée classique, elle contiendra bien les notes et le son qui leur correspond, mais à l'écran, la zone sélectionnée affichée sur la piste numérique ne reflètera pas les données effectivement contenues dans la sélection.
En d'autre termes, tout fonctionne, sauf l'affichage à l'écran. Il faut pouvoir afficher les données numériques de la mesure sur de manière non linéaire, correspondant aux échelles imposées par les paramètres du mode gravure.
Cela nécessite une petite refonte du module d'affichage des pistes, mais devrait régler le problème une fois pour toutes. Ce sera pour la prochaine beta... |
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| by Olivier Guillion | |
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Ce soir, par curiosité, je consultais les rapports quotidiens de notre système de courrier électronique, quand je me suis aperçu qu'il y avait un nombre très élevé d'erreur de communication.
Ma boîte à lettres ("info" ou "olivier"), ne répondait plus, et en y réfléchissant à deux fois, je me suis rendu compte que je ne croulais pas sous les e-mails ces derniers temps.
Un lancement de console sur notre boîte aux lettres distante, quelques commandes POP3 tapées à la main, et le problème était identifié. Un e-mail "plantait" le système et l'empêchait de me délivrer tous les messages en attente.
Cet e-mail était en fait un spam, me proposant une magnifique propriété pour passer mes week-ends au bord d'un lac, en Arkansas. 10 heures d'avion à l'aller et autant au retour, ça fait un week-end chargé 
Il y avait, derrière, 120 messages bloqués, attendant patiemment que le problème soit réglé. Et le problème a été réglé rapidement, avec une suppression à la source de la proposition immobilière, pourtant fort alléchante.
Bon, avec 90% de spam, ça ne faisait "que" 12 messages en attente, mais quand même !
Il va falloir maintenant que je réponde à ces e-mails, et que je surveille les boîtes, au cas où ce message nous soit renvoyé et bloque tout à nouveau. Vivement un peu de détente, ce week-end. Il parait que c'est joli, l'Arkansas
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| by Olivier Guillion | |
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Les travaux avançant comme prévu, le déménagement de Myriad se profile. Il aura lieu probablement quelques jours avant le 20 octobre.
Aujourd'hui, nous nous sommes assurés que nous pourrions disposer d'une connexion Internet. Nous avons branché le petit modem Alcatel sur la ligne de secours (la seule pour l'instant transférée là-bas) et avons réussi à naviguer sur Internet à partir d'un Mac portable.
C'est une connexion de secours, donc elle plafonne à 64 Ko par seconde (650kbps), ce qui n'est pas fabuleux, mais nous permettra au moins d'aller un peu sur Internet et de traiter nos e-mails.
Notre second abonnement, qui est supposé être plus performant (voir les billets à ce sujet), ne peut de toute façon être transféré qu'à compter du 1er jour du mois, et la reconnexion à la nouvelle adresse peut prendre du temps. Ce n'est qu'après cette date que nous pourrons savoir si nous devons migrer vers un autre type de connexion.
Nous allons donc être obligés, pendant quelques semaines, de nous contenter de la connexion de secours, qui ne nous permettra ni de poster de nouvelles versions, ni même de joindre des fichiers trop volumineux à nos courriers électroniques. En résumé, de surveiller attentivement notre trafic Internet ... ça nous rappellera le bon vieux temps
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| by Olivier Guillion | |
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Nous avons poursuivi les tests sous Linux, et cela nous a permis de mettre en évidence quelques problèmes qui pouvaient également se produire sous Windows.
Notamment, le lancement du logiciel alors qu'aucune imprimante n'est définie, puis son nouveau lancement après avoir installé une imprimante pouvait conduire à un crash.
Egalement, il vaut mieux ne pas tester la version beta avec Harmony Assistant en mode "évaluation" (non enregistré). Cela peut donner des résultats inattendus.
Tout ceci devrait être corrigé dans la prochaine version.
Nous avons également commencé à implémenter le métronome dans le plug-in, comme cela avait été demandé dans le forum.
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| by Olivier Guillion | |
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Une personne nous a appelés, l'autre jour, en nous expliquant que l'un de nos programmes ne fonctionnait pas correctement sur sa version de Windows, et en nous demandant s'il y avait quelque chose à faire.
Le programme en question est un jeu éducatif, que nous avions écrit et édité en Octobre 1997, c'est-à-dire il y a tout juste 10 ans !
Sur la face arrière de la boîte du CD, on peut lire:
Configuration PC
- Processeur 486 DX2 et plus
- Windows 95, NT ou 3.1x
- Résolution écran 640x480
- 256 couleurs
- Mémoire libre minimale 3 Mo
Inutile de dire que la moindre machine récente, achetée en promotion dans une grande surface, était inimaginable à l'époque où nous avons écrit le logiciel.
Mais bon, nous nous sommes dit : essayons tout de même de le faire tourner sur notre DualCore sous XP, avec 1.5Go de mémoire libre et un double écran de 1600x1200 pixels, en 16 millions de couleurs
En fait, ce n'a pas été si difficile. Il a suffi d'installer le CD-ROM, puis de définir que le programme devait être lancé en mode de compatibilité Windows 95.
Si on prend soin de désactiver la musique, tout fonctionne bien. Trop bien, même, car la vitesse du jeu est hallucinante. Le but du programme est de gérer un espace pendant plusieurs années, et là, 5 ans passent en moins d'une seconde, trop vite pour que le joueur ait le temps de faire quoi que ce soit.
Nous avons donc cherché des moyens de ralentir le programme, et avons essayé divers petits utilitaires :Mo'Slo, AGL2, Bremze, CPU Grabber, MySlow, WinThrottle et autres CPUKiller, sans en trouver un qui puisse être gratuit (on ne peut pas demander aux personnes qui essaient de faire tourner nos vieux programmes d'acheter un autre programme pour y arriver), et qui puisse ralentir la machine de ... 97%.
Il semble en effet que les ordinateurs de l'époque étaient à peu près 30 fois moins rapides que ceux d'aujourd'hui.
Je n'ose pas imaginer à quelle vitesse Vista aurait tourné là-dessus |
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| by Olivier Guillion | |
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Les tests se poursuivent sur Ubuntu, pour localiser ce qui "crashe" au démarrage.
Une nouvelle mise à jour de Wine en 0.9.46 a été faite aujourd'hui, sans effet sur ce crash.
Le "débuggage" de l'application est assez délicat. Impossible de faire du cross-débuggage comme sur les vieilles versions de Windows, car le module de débuggage à distance de Codewarrior ne fonctionnerait pas sous Linux, et encore moins lorsqu'il s'agit de débugger un programme tournant sous Wine.
Seule solution, se retrousser les manches et bourrer le programme d'écriture de "log" qui indiquent où on est passé.
Le programme est compilé sous Windows, passé par le réseau vers la plateforme Linux et exécuté sous Wine.
Une fois le crash survenu, on regarde le fichier log généré, et on en déduit l'endroit approximatif où ça crashe.
On revient sous Windows, on ajoute plus d'écritures de "logs", pour affiner la partie repérée, et on recompile. Ainsi de suite.
Donc, pour l'instant, il semble que le problème vienne de la demande d'énumération des fontes de caractères installées sur le système. Plus de précision dans les jours à venir... |
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| by Olivier Guillion | |
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Alors que la nouvelle (et peut-être dernière) version beta se profile, de vieux bugs ont été corrigés :
- Le choix des palettes que doit éviter la fenêtre de document lors de son ouverture (Préférences générales > Palettes) ne fonctionnait que pour les 16 premières palettes. Les autres gardaient leur valeur par défaut, quel que soit le choix de l'utilisateur
- Un crash dans Virtual Singer pouvait se produire lorsque des voix RealSinger ne contenant pas tous les phonèmes de la langue utilisée étaient employées. Pour ce type de voix, le programme "mixe" des phonèmes RealSinger et Virtual Singer classique, et ce mixage ne fonctionnait pas toujours correctement.
Dans un autre domaine, nous songeons sérieusement à "recycler" notre vieux petit PC en une machine sous Linux, afin de pouvoir procéder à des tests plus sérieux sur cette plateforme. Pour l'instant, Linux tourne dans un émulateur sous Windows XP. Lorsqu'on teste nos applications, c'est donc un code Windows qui est émulé sous Linux (Wine), qui lui-même est émulé sous Windows. Pas évident pour juger des performances
Par contre, nous cherchons un moyen de faire cohabiter sur le futur PC Linux plusieurs distributions différentes de Linux, afin de pouvoir tester le programme sur celles-ci.
Nous vous tiendrons au courant sur ce blog de l'avancement du projet.
Enfin, les travaux continuent dans nos nouveaux locaux, avec du neuf au sujet des parquets. La galerie de photos a été mise à jour.
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Grâce aux renseignements qui nous ont été fournis par Gilbert Rouquié hier sur ce blog, nous avons mis en place la détection du système Linux/Wine par Harmony Assistant.
Dans le "A propos de...", en plus de la version de Windows telle qu'elle est simulée par le système, s'affiche maintenant la mention "Wine". Il nous est donc possible, tant au niveau de l'installateur que celui du programme, de tester la présence de ce système et de réagir en fonction.
Par exemple, des premiers tests ont été faits pour considérer les fontes Bitstream Vera comme les fontes par défaut sur les systèmes Linux. On pourrait également imaginer un "skin" particulier, qui serait choisi par défaut lorsqu'on installe le programme sur ce système.
Malheureusement, la disparité graphique des diverses distributions de Linux (et leur personalisation par l'utilisateur) ne nous permettent pas de dégager un aspect qui pourrait convenir à tous.
Enfin, nous avons décidé de mettre à jour notre Ubuntu, et après téléchargement de quelques centaines de mégas et un redémarrage, Harmony Assistant refuse maintenant de se lancer. Un crash, qui a lieu apparemment dans le module Wine, est généré juste au démarrage, et nous devons maintenant entamer des tests plus poussés pour localiser la source du problème. |
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| by Olivier Guillion | |
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Un problème de positionnement des marques de répétition des deux mesures précédentes a été corrigé. Il ne survenait qu'en mode page ou à l'impression, lorsque le mode gravure était désactivé.
Des tests assez poussés ont été menés sur les configurations de système "exotiques" (Windows 98 sans support Unicode, Ubuntu) afin de mettre en évidence un crash lié aux pilotes d'imprimante qui a été signalé. Malheureusement, nous ne sommes pas parvenus à reproduire ce crash.
Mais en testant, nous nous sommes aperçus que dans Harmony Assistant tournant sous Ubuntu, la police par défaut des textes était MS Sans Serif, qui est apparemment livrée avec Wine (émulation Windows), et qui ne supporte pas le lissage ou la rotation. Il serait judicieux, sur ce système, de choisir plutôt la Bitstream Vera Sans, mais nous n'avons pas trouvé de moyen simple pour que soit l'installateur, soit le programme, détecte qu'il est sur Linux.
Wine retourne au programme l'information selon laquelle le système est Windows 2000. Si quelqu'un sait comment un programme peut tester qu'il est en train de tourner sous Wine, cela permettrait d'améliorer un peu cette version.
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