Nous commençons à bien comprendre la structure des fichiers de police TTF, qui est plutôt complexe. Nous devrions être capables de mettre en place un export sélectif des polices en format PostScript, permettant de réduire la partie exportée aux caractères réellement utilisés dans le document. Et, petit à petit, la syntaxe du langage PostScript nous revient en mémoire. Étonnamment, le fait que ce langage utilise la notation polonaise inverse ne nous a absolument pas posé de problème (c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas) mais par contre la syntaxe est parfois un peu ardue (par exemple cvrs pour convertir un nombre décimal dans une autre base, ça ne se trouve pas tout seul). |