Nous avons franchi le cap et nous sommes inscrits sur Facebook ! Un peu circonspects au départ quant à l'utilité réelle de ce type de réseaux sociaux, nous avons cependant cédé à la pression populaire et avons créé nos profils. Ceci était l'étape obligée pour ouvrir un groupe "Myriad Software" dans lequel les amateurs de nos logiciels pourraient se retrouver. Bien sûr, cet endroit ne sera pas destiné à discuter en détail de nos produits, le forum étant déjà prévu pour cela. Mais cela permettra peut-être de faire connaître notre existence au sein d'une très, très large communauté. La prise de contact avec le système de Facebook est aisé, très aisé même. Le contenu lui-même est un peu fouillis, avec des trucs et des machins partout, des commentaires, des fenêtre de t'chat, des amis et les amis des amis (qui sont selon le dicton également nos amis). Bref, tout le monde est pote, et la profusion d'information - qui peut parfois cacher son absence de fond - permet de se balader pendant des heures en ayant l'impression de faire ou d'apprendre quelque chose. Techniquement, tout est simple, simpliste même parfois. Pour la majeure partie, des technologies et concepts déjà existants (blog, chat, forums, galerie de photos) ont été rendus à la portée de n'importe qui en quelques clics. Plus la peine donc de savoir que le HTML n'est pas un gaz de combat pour publier sur Internet tous les détails sur sa vie privée. Avoir un profil Facebook, simplement pour voir ce que deviennent les vieux potes, et visualiser leur photos de vacances de temps en temps, ou leur envoyer un petit coucou, ça peut être intéressant. Mais quant à y passer plus d'un quart d'heure par jour... Donc, au final, rien de vraiment révolutionnaire, mais une bonne réalisation et une grance facilité d'emploi. Nous restons tout de même, à la fin, "un peu circonspects quant à l'utilité réelle de ce type de réseaux sociaux". |
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by Olivier Guillion | | |
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Avec l'annonce des résultats de la 20e session de notre concours amical de musique, nous avons pu nous rendre compte de son évolution depuis la première édition, au printemps 2001. Dès les premières sessions, nous avons pu découvrir des musiciens talentueux, avec des styles très personnels. En octobre 2003 (neuvième session), nous avons commencé à introduire le système du sujet imposé, qui nécessitait de la part des participants soit de composer un morceau spécialement pour l'occasion, soit de faire preuve d'imagination pour faire "coller" au sujet une pièce qu'ils avaient déjà écrite Ce n'est qu'en août 2005 (14e session) que le sujet imposé est devenu seul et unique moyen de participer au concours. Cela est lié à des raisons purement pratique : les jurés du concours doivent écouter en intégralité toutes les oeuvres soumises. Pour le 13e concours, cela correspondait à plus de 9 heures En limitant le nombre de participations, la charge de travail ne dépassait ainsi plus le seuil humain de résistance acoustique, évitait les drames familiaux et les faits divers dans l'entourage des jurés. Nous sommes conscient que le système actuel n'est pas parfait. Par exemple : - la page des contributions est fabriquée "à la main" et n'est donc remise à jour que lorsque suffisamment de morceaux nouveaux sont arrivés. Parfois certains participants s'étonnent de ne pas voir leur morceau apparâitre sur la page Web aussitôt après avoir envoyé leur e-mail. - Le fait d'intégrer le gagnant du concours au jury des sessions suivantes - et donc ne plus lui permettre de participer - permet d'éviter qu'un nouveau Mozart ne gagne tous les premiers prix jusqu'à la fin des temps. Malheureusement, cela prive également le concours de nombreux talents. - Il aurait été plus logique de se passer complètement de jury, et de faire voter les internautes. Des essais ont été réalisés en ce sens, mais ne permettent pas d'éviter les abus. En effet, rien n'empêche un lycéen de demander à tous ses copains de classe de s'inscrire et de voter pour lui. Les résultats sont alors faussés, et cela devient un concours de popularité plus que de talent. Nous sommes cependant prêts à modifier ce système, en détail ou en profondeur, si nous trouvons une solution juste, pas trop lourde, et, surtout, pas trop compliquée à maintenir et à gérer au jour le jour. N'hésitez pas à nous faire part de vos idées. Pour l'instant, nous conservons le système tel qu'il est, faute de mieux. Nous nous creusons donc la tête à chaque session pour trouver un nouveau thème, ni trop contraignant, ni trop ouvert. Mais peut-être lancerons-nous, pour la 22e session, un concours dans le concours, en demandant aux visiteurs de proposer un sujet, puis en les collectant et en organisant un vote pour déterminer celui qui sera finalement retenu. C'est ça qu'on appelle la démocracie participative ? |
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by Olivier Guillion | | |
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